samedi

Hépatite B ! Un service Hospitalier tente de faire vacciner de force un nouveau né !

Pour une fois dans cette histoire, digne d'un fait divers, la justice ne s'est pas fait duper :

Les faits sont incroyables...mais vrais : l'été dernier dans l'ouest Français, des analyses sur une mère enceinte, révèlent qu'elle est porteuse chronique du virus de l'hépatite B. Les médecins lui disent alors qu'il faudra vacciner le bébé à la naissance, car elle risque selon eux, de lui transmettre le Virus. La mère fait observer qu'un de ses oncles a failli mourir des suites d'un vaccin, et qu'elle-même a été vaccinée contre l'hépatite B.

Au moment de la naissance, les deux parents refusent donc que leur bébé soit vacciné contre l'hépatite B. Offensés par le fait que ces parents osent réfléchir et osent dire que c'est peut être le vaccin qui l'a rendu porteuse chronique en affirmant "ce n'est pas possible", ignorant les centaines de publications de leurs confrères disant le contraire, saisissent le juge des enfants qui, immédiatement convoque les parents. Le but étant que le juge place l'enfant 24 heures sous la responsabilité de la DDASS, qui le fera vacciner et le rendra aux parents 24 heures plus tard.

Les parents ont pourtant expliqué aux médecins qui semblaient l'ignorer que selon les fabricants, pour qu'un vaccin soit efficace et "désinfecté", il faut, en plus du virus atténué, ajouter un produit appelé "adjuvant de l'immunité".
Ce produit est :
- soit, de l'hydroxyde d'aluminium à des doses parfois 30 fois supérieures au seuil toxique,
- soit, des dérivés du mercure, notamment le Thimerosal (appelé en France Thiomersal),
- soit, du formaldéhyde ou formol, utilisé pour conserver les cadavres, et classé en 2004, comme cancérigène par le Centre International de Recherche sur le Cancer.

Exemple : dans le dictionnaire médical "VIDAL", on peut lire p.2131 "Vaccin DTCP PASTEUR : vaccin diphtérique, tétanique, coquelucheux, poliomyélitique inactivé absorbé...
Excipients : hydroxyde d'aluminium, formaldéhyde, phénoxyéthanol, polysorbate ..."
Quelque ligne plus bas, on peut lire "...Exceptionnellement, choc anaphylactique, encéphalopathies aiguës..."

Les parents avaient rappelé également que la quasi-totalité des experts :
- Pendant des années ont nié les effets toxique de l'amiante,
- Pendant des années, ont nié les effets toxiques du distilbène
- Pendant des années, ont nié les effets toxiques du sang non chauffé.

Les parents avaient également indiqué avoir peur que pour, soi-disant, protéger leur enfant contre une maladie qui guérit spontanément dans 9 cas sur 10, on leur rende en réalité leur bébé bien malade.

Avant la convocation devant le juge des enfants, les parents approfondissent leur documentation, et découvrent que dans son ouvrage "autisme et vaccination" (Ed. Guy Trédanieu) paru en 2007, Sylvie SIMON nous fait découvrir que l'autisme est très certainement lié à la vaccination, d'autant plus qu'il n'y a pratiquement pas de cas d'autisme chez les enfants non vacciné.

Ils découvrent également que, mis à part le Dr Marc GIRARD, expert en pharmacovigilance ayant eu le courage de déclarer dans des émissions de télévision que ce vaccin avait fait des "dizaines de milliers de victimes" (ce qui est également l'avis du Dr. JAKUBOWICZ dans le n°967 de "Science et Vie"), la plupart des autres ont une attitude incroyable.

La Presse internationale (et Française) publie pourtant un rapport du Dr. HERNAN, de l'institut de Santé publique d'Harvard (U.S.A) qui, après avoir analysé pendant 7 ans, toute une série de cas de scléroses en plaques survenus en Grande-Bretagne, conclut que le vaccin contre l'hépatite B multiplie par 3,1 le risque de contracter une sclérose en plaques.

Le Dr. Marc GIRARD écrit sur son site Web : "...Prétendre que la vaccination n'a occasionné aucune sclérose en plaques chez le nourrisson est une ineptie doublée d'une mystification...Qu'en sera-t-il quand leur myéline sera formée ? Une bombe qui n'explose pas quand on la pose, cela s'appelle généralement une bombe à retardement..."

Avant d'entrer dans le bureau du juge des enfants, les parents annoncent dans les couloirs du tribunal que si le médecin de la DDASS garantit par ecrit que le bébé :

- sera protégé contre la maladie,
- n'aura pas d'effets secondaires,
- ne sera pas, comme sa mère, porteur chronique du virus, ils accepteront la vaccination.

Tout le monde sait qu'aucun médecin en France, même le plus hystérique des vaccinalistes, n'a jamais voulu signer un document de ce genre. Comme quoi, le vaccinalisme n'est pas du tout, une démarche scientifique.

Résultat : les parents ressortent du bureau du Juge des enfants, avec une décision de non-lieu. Leur dossier est classé. L'enfant restera en bonne santé, car il ne subira pas ce vaccin (qui n'a d'ailleurs jamais été obligatoire pour les particuliers, que je sache...)

Une équipe hystérique avait donc tenté d'imposer un vaccin inefficace, et dangereux... 

(" Article rédigé par J.P. Joseph")


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